C’est officiel ! Depuis quelques semaines, Elite Athletes et La French Touch Academy sont officiellement partenaires !
Niché au cœur d’une exceptionnelle forêt de pins, le Centre International de Tennis est l’un des plus beaux complexes de tennis de France. L’académie dispose de plus de 30 courts pour former les jeunes dans les meilleures conditions tout au long de l’année, mais aussi sur son campus où ils grandissent aux côtés d’une équipe pédagogique dirigée par Charles Auffray.
A partir de 2022, le complexe disposera de 80 lits au sein de la structure, de nouvelles salles de classe et d’un centre médical sportif rénové. En attendant, c’est à la fois la reconstruction de 7 terrains et d’un espace de fitness qui va commencer.
Cette alliance est la possibilité de s’appuyer sur un savoir-faire commun et des compétences différentes en même temps. Pour Elite Athletes Agency, c’est la possibilité de compter sur une pépinière de formation de qualité et pour la French Touch de pouvoir s’appuyer sur des professionnels du placement et de l’accompagnement en universités américaines.

Daniel est passionné de football. Gardien de but, il a tout d’abord été formé à l’INF Clairefontaine avant de rejoindre le centre de formation du Paris Saint-Germain dans l’espoir de devenir professionnel.

Il obtient son bac en 2013, et enchaîne sur une licence de Gestion à l’Université Paris Dauphine en parallèle de sa dernière année au centre de formation du PSG. Au terme de cette saison charnière, il ne sera pas prolongé.

« Le niveau était très haut, j’avais envie de continuer mes études, et je me suis blessé au mauvais moment. Dans ce contexte, j’ai loupé le bon wagon, le PSG ne m’a pas proposé d’aller plus loin. »

Il continue son cursus à Dauphine l’année suivante tout en s’inscrivant au club de l’US Palaiseau dans la simple optique de jouer pour s’amuser. A la rentrée universitaire de 2015, il commence son apprentissage chez Air Liquide et se met à réfléchir à son échange international universitaire de Master 1 qui arrive à grands pas. C’est là qu’il découvre le projet FFFUSA.

« Il y a beaucoup d’arnaques dans le monde du foot, j’étais naturellement prudent en découvrant ce projet. Je me suis renseigné auprès de la FFF (Fédération française de Football) et les retours étaient positifs. J’ai donc appelé Édouard qui m’a proposé de venir à la détection de Clairefontaine, suite à laquelle j’ai eu des propositions d’universités ».

Cependant, comment continuer son cursus à Dauphine tout en alliant cette expérience qui se profilait ? Telle fut la problématique à laquelle l’agence, Daniel et les directeurs de son Master à Dauphine ont dû répondre.

Finalement, tout s’organise parfaitement car la Direction Dauphinoise adhère au projet de Daniel, et lui propose d’adapter son cursus : les 2 années de Master à Dauphine se transforment donc en 2 années de MBA aux Etats-Unis suivies d’une année de M2 une fois de retour en France.

Il est recruté par California State University à Los Angeles. L’avion décolle, Daniel aussi.

« Par rapport à la plupart des joueurs qui partaient avec dans la tête l’espoir d’une deuxième chance dans le foot, je visais plutôt une grosse école. Le côté footballistique était secondaire.

Je voulais trouver un compromis entre une université réputée pour son niveau académique et sportif. Cependant, ça veut dire que l’ on touche à des universités dans le TOP30, donc ce n’était pas évident… »

Finalement, cette expérience à Los Angeles tourne au vinaigre pour Dan. Les entraîneurs y ont survendu l’aspect footballistique, ils n’étaient pas très compétents, et Daniel ne s’y retrouvait pas vis-à-vis des motivations qui l’avaient poussé à tenter l’aventure.

Mais à chaque problème sa solution : les équipes de FFFUSA et Daniel se sont concertées pour envisager un transfert dans une autre université.

« C’était soit je rentrais terminer mon M2 à Paris soit je transférais. Alors en janvier 2017 on a échangé avec 2 jeunes entraîneurs de l’équipe de l’université d’Hawaï (ndlr. Maël et Olivier, eux aussi issus du moule de l’universitaire américain). »

Les différentes parties parviennent à trouver un accord, et voilà Daniel prêt à enchaîner sa deuxième année de MBA à Honolulu.

« Sur place la vie est fantastique, une expérience folle…ça me changeait de l’année précédente. Pour être honnête, ça s’est passé encore mieux que ce à quoi je m’attendais. J’avais un rôle de leader au sein du groupe, l’esprit d’équipe était super, le style de jeu était plaisant et très dynamique, et dans l’ensemble j’ai fait de magnifiques rencontres. Et puis, le simple fait d’avoir pu vivre à Hawaï en dit suffisamment long sur cette opportunité exceptionnelle. »

La saison se termine et Daniel rapplique en France pour terminer son apprentissage chez Air Liquide. Il obtient son diplôme de Master à Dauphine en 2019.

Et comme la vie est souvent bien faite, il décroche un VIE de 24 mois avec Air Liquide en contrôle de gestion à Johannesburg, capitale économique d’Afrique du Sud –mission qu’il doit terminer courant 2021 si les conditions le permettent.

« La situation sanitaire n’aide pas, ce n’est pas facile mais j’apprends beaucoup et je m’enrichis tous les jours. Je travaille avec toutes les divisions de l’entreprise, touche à énormément de sujets et découvre de nouvelles choses. C’est une expérience hors du commun. »

Pour les prochaines étapes de sa vie, Daniel est encore en réflexion. Si rester chez Air Liquide lui tient particulièrement à cœur, la diversité des expériences qu’il a pu vivre tout au long de ce parcours très international l’aidera sûrement à se faire remarquer au meilleur moment, ici ou ailleurs.

Des débuts au FC Issy les Moulineaux, quatre ans au centre de formation du Valenciennes FC, William James Hervé a créé son début de carrière entre la région parisienne et le Nord. L’ancien milieu offensif revient sur sa folle année 2018. De la finale FFFUSA, en mars 2018, à son retour de blessure, la route a été marquée de hauts et de bas. Et, surtout, par un titre de champion de D1 NCAA, l’élite du football universitaire américain, début décembre.

Quelle fut la sensation après cette victoire en 2018 ? La vie dans le Maryland ?

On a vécu pas mal de galères, au terme d’une saison dure. Au début de la saison, on n’arrivait pas à marquer, les gens doutaient. On a montré une force collective puissante, entre ceux qui jouaient et ceux qui étaient dans les gradins. Aujourd’hui, on est tous lié à cette même chose, c’est une très belle fierté.

C’est ce qu’a dit Didier Deschamps après la Coupe du monde.

C’est ça, c’est à peu près le même sentiment. Certains se sont tatoués la même chose, mais pas moi, pour symboliser victoire. Des joueurs sont passés pros, on est en contact avec eux. On sera des frères jusqu’à la fin. Même si on ne se voit pas très longtemps, on l’aura gagné ensemble.

Sur ce tournoi final, vous n’étiez pas favoris…

Pas du tout… Quand j’ai intégré l’équipe à l’été 2017, on n’était pas classé dans les meilleures universités. C’est juste le nom, car c’est une bonne université, qui est connue pour sa grosse équipe de foot. Mais il n’y avait pas de réussite, c’est une reconstruction après un échec. Il fallait reconstruire une équipe, une façon de jouer. On n’avait pas l’idée de gagner, juste d’avoir une bonne équipe, on pouvait faire de belles choses, il fallait qu’on apprenne à se connaitre, puis le travail ferait qu’on pourrait aller loin. Les choses ont avancé au jour le jour. Quand on perdait, qu’on ne marquait pas, qu’on était critiqué sur Twitter, on a réussi à faire abstraction, car on savait qu’on avait de la qualité, que ça viendrait. On a vécu des émotions, des déceptions, des moments où on s’est dit qu’on n’allait pas le faire. Puis, on est devenu plus proche. On a pris les matches semaine par semaine, avec l’envie de se battre ensemble. On a mis en place un bloc compact sur le terrain, c’était difficile de marquer contre nous, tout le monde défendait, même les attaquants, et, comme on avait une excellente défense, on avait une équipe très redoutable.

Si vous deviez garder un match fort ?

Il y a plusieurs moments symboliques. Il y a une défaite qui nous a fait mal, contre Wisconsin, lors de la « pride night », en milieu de saison. Il y avait énormément de supporters. L’an dernier, Wisconsin avait battu Maryland. On s’est dit, il faut gagner, mais on a perdu en over-time. Ca a été un gros choc. Puis, de cette période jusqu’au match contre Denver, on était en construction. On disait qu’il y avait le meilleur attaquant du pays dans cette équipe, mais, après avoir gagné, ça a été un déclic. On est devenu des machines, on a défendu tous ensemble. Lors des play-offs NCAA, on a obtenu une victoire contre Duke, qui était considérée comme la meilleure équipe du pays, on a battu Kentucky, qui était invaincu à domicile. Chaque match a été un moment très fort de la conquête du trophée.

Vous seuls y croyiez…

C’était compliqué de gagner, on n’était pas favori. Les gens ne pensaient pas qu’on allait réussir. Seuls les fans de Maryland le pensaient. Avoir gagné ces matches, sachant que les gens nous considéraient comme faibles, c’est une fierté en plus.

La victoire en finale, face à Akron (1 – 0), est-elle la plus belle de votre carrière ?

Oui, c’est le plus beau moment, surtout après le coup de sifflet final, de ce match hyper difficile. Il y avait énormément de fatigue, car la demie avait eu lieu deux jours avant. Ce n’était pas le meilleur match de foot, on n’a pas pris de plaisir à jouer. Mais, au moment où on marque et au coup de sifflet final, on se rend compte qu’on est champion. A partir de ce moment, ce sont des émotions très fortes. Ce sera très dur de le revivre, j’avais déjà gagné des championnats, en U15, j’avais vécu de belles émotions avec le club de ma ville, mes meilleurs amis, mais ce n’est pas la même histoire. Je suis parti de rien et je suis devenu champion d’Amérique. C’est un énorme trophée pour un athlète. Ce sera mon meilleur souvenir, car c’est le moment où j’ai ressenti le plus d’émotions et de fierté dans ma vie.

Vous avez également pu jouer devant votre mère…

C’était un pur hasard, lors d’un match contre North western. Ma mère avait un voyage pour son travail, elle n’en fait pas souvent aux Etats-Unis. Elle a pu me voir jouer. Quand on ne voit pas sa famille et qu’elle vient te voir jouer, ça rajoute une motivation. En plus, c’est une énorme fierté d’avoir marqué deux buts. C’est un super sentiment de savoir qu’elle est fière de toi, quand elle te voit réussir, marquer. Je ne voulais pas la décevoir. Si je suis parti de France, c’est parce qu’il y a quelque chose derrière, ce n’est pas comme ça. J’assume et j’ai fait le bon choix. J’étais content de voir son sourire sur le visage et qu’elle soit fière que je sois son fils.

Lors de cette saison, vous avez également été élu, une fois, joueur offensif de la semaine dans la conférence Big Ten.

C’est flatteur et gratifiant. Ce sont beaucoup d’efforts que j’ai fait. Les récompenses personnelles font plaisir, elles rajoutent de la visibilité, c’est du bonus. Je n’en ai pas gagné un deuxième. J’ai également été membre de l’équipe type des Freshman NCAA. Ca motive à donner encore plus.

Pourquoi avez-vous fait le choix de rejoindre le programme FFFUSA ?

J’étais sur la fin de ma 4e année à Valenciennes, dans une phase où j’étais déçu. Mon avenir n’était pas forcément là-bas. Il y a beaucoup de frustration, et je n’atteignais pas les objectifs. J’étais assez ambitieux, je ne voulais pas me laisser diriger par des gens qui me disaient que ça allait peut-être marcher. J’ai suivi mon destin, je me suis dit il faut que tu trouves quelque chose d’autre. Je n’étais pas heureux, j’en ai parlé à mes proches, je me suis dit sois patient, bosse. J’ai entendu parler de FFFUSA, j’étais fan des Etats unis, de la culture. J’ai trouvé ça attrayant. Je suis rentré en contact avec Edouard Lacroix et Clément Simonin. Je suis franco-anglais, mon profil leur a plu. J’ai été invité à la finale à Clairefontaine. Je me suis dit, j’y vais pour m’aérer l’esprit. J’étais dans une routine. Là, il y avait le fait de jouer avec d’autres personnes. J’ai pu me rendre compte que je n’avais plus ma place à Valenciennes. Au final, je ne me suis jamais senti aussi bien, j’étais libre. Ca m’a permis de m’exprimer beaucoup plus, et, apparemment, ça a plu. Le soir même, j’avais reçu des propositions. Mes parents m’ont dit de ne pas m’emballer, qu’on ne savait pas si c’était de bonnes universités. Moi, j’étais heureux, car j’avais une porte de sortie si je n’étais plus content à Valenciennes. J’ai reçu des propositions intéressantes, dont celle de Maryland, qui a été une des meilleures qui m’ait été faites. Edouard et toutes les personnes FFFUSA ont dit qu’aucun Français n’était parti là-bas et que c’était une des meilleures équipes des Etats-Unis. Ca ne se refuse pas. Moi, j’étais intéressé, mes parents se sont rendu compte de la chance que c’était pour moi. Après le processus de résiliation mon contrat d’apprenti à Valenciennes, j’ai pris la décision de partir.

Comment s’est passé la vie aux États-Unis ?

C’est unique. La vie universitaire, c’est quelque chose que tout le monde ne vit pas. Je suis très content de le connaitre, c’est à part, c’est différent. Même le foot universitaire a l’air professionnel, avec énormément de fans. On est reconnu dans les universités, dans les aéroports. La vie est celle d’un adulte, on va s’acheter à manger, on se gère, on fait ce qu’on veut. Il y a d’excellentes infrastructures sportives, de super infrastructures scolaires. C’est unique et totalement différent de ce que j’ai vécu dans ma vie. Je suis très fier et très heureux d’avoir fait le choix de partir, ça me correspondait le mieux. C’est un des meilleurs choix que j’ai pris dans ma vie. Les deux premiers mois, on se dit que c’est différent, bizarre, puis, quand on connait les gens, qu’on se fait des amis, on se rend compte à quel point c’est grand et beau. Ce sont des émotions en tant que jeune sportif, qu’athlète, qu’étudiant, qu’on recherche.

Ancien gardien de l’équipe de football et Alumni de l’université d’Alabama à Birmingham ou il etudia de 2012 à 2016, il continua ses études et est diplômé du Master en Business Administration de l’IESE en 2019, Raphaël Ville fait partie des premiers student athletes envoyés en université américaine par l’agence Elite Athletes.

Entre le foot, les études et son développement personnel aux États-Unis, découvrez son parcours !

Raphaël est né avec le foot. Très jeune il se passionne pour et effectue ses débuts au poste de gardien. À Clairefontaine de 2002 à 2005 puis à Lyon 3 ans, avant de jouer 2 saisons avec le PFC (Paris Football Club), nous sommes en 2010 quand il décide de changer de cap.

Avec l’objectif de reprendre ses études et développer son expérience professionnelle, Raphaël se lance dans l’idée de partir aux US : « je comptais atterrir et me débrouiller sur place. J’avais pour objectif de reprendre des études, réapprendre l’anglais et me développer professionnellement. Je comptais m’adapter une fois là-bas ».

3 jours avant son départ, Jérôme et Raphael font connaissance par l’intermédiaire de relations communes. Jérôme a vécu l’expérience US aussi.

« Je rencontre Jérôme, il me fait découvrir ce système de bourse universitaire que les jeunes athlètes pouvaient obtenir et ainsi décrocher un diplôme tout en jouant au football aux US. ».

En 1 mois Raphael décroche son SAT. Malgré l’intérêt de certaines universités, il est plus opportun de patienter encore quelques mois et espérer décrocher mieux.

En Mai 2012, 2 coaches américains viennent le voir et Raphael décroche sa bourse pour la saison Fall 2012.

Le 02 août 2012, il intègre l’université d’Alabama et sa nouvelle équipe de football.

« Tout était prêt. Quelqu’un est venu me chercher à l’aéroport, j’avais juste à poser mes valises et aller à l’entraînement. Tout était fait pour qu’on soit dans les meilleures conditions. On avait des équipes médicales disponibles pour nous, des kiné… Les infrastructures sont full option, la météo était top… Un véritable changement de vie. »

Après 1 bon mois et demi d’adaptation, il est temps de rentrer dans le vif du sujet, montrer l’exemple. Raphaël découvre de nouvelles formes d’entraînement, de nouvelles formes de travail, de nouveaux coaches… une toute nouvelle mentalité.

« C’est comme le centre de formation sauf que les gens avec qui tu interagis sont plus intelligents. La mentalité est complètement différente : on te dit que pour gagner il faut faire ça, ça, ça. Si tu perds et que tu l’as fait, ils t’encouragent encore plus et tu gagneras la fois suivante. C’est ça pour moi la culture de la gagne ».

Au niveau sportif, les entraînements augmentent en intensité. On demande aux jeunes athlètes d’en faire toujours plus. Mais finalement « tu fais plus de choses mais tu sens moins que tu fais plus de choses. Ça devient des habitudes et ça finit par payer ».

Aussi, il faut trouver le bon équilibre entre les cours et le foot. Chose qui fut assez simple pour Raphael qui a cette appétence naturelle pour l’apprentissage.

« Les profs en cours t’aident, vraiment : ils viennent discuter avec toi, trouvent des solutions. 

L’énergie est tellement différente du système éducatif français… »

Raphael jouera 2 saisons au sein de l’équipe de football de l’université avant de décrocher une bourse honorifique pour continuer son cursus au même endroit.

Il suit un apprentissage en finissant son Bachelor en finance des marchés pendant 2 années durant lesquelles il vit le rêve américain différemment, sans ce rythme imposé de l’athlète.

En revanche, c’est grâce à cette discipline que Raphael nous raconte qu’il réussit à atteindre ses objectifs : « je me réveillais tôt, je travaillais beaucoup et je me couchais assez tard. J’allais en cours et je donnais même des cours de soutien aux plus jeunes. J’avais encore cet équilibre sportif même si je ne jouais plus les matchs, je m’entraînais avec l’équipe et j’apportais cette forme d’agressivité nécessaire aux gardiens de but qui jouaient. » 

En 2016, Raphael est diplômé de l’université d’Alabama et passe plusieurs entretiens pour des Master en France et aux Royaume-Uni. Refusé de la London Business School car trop d’expérience et non admis à HEC en spécialité finance, il passe le GMAT qu’il obtient avec un score de 690.

Suite à cela, l’IESE Business School le contacte et il est admis dans le MBA de l’école, l’un des meilleurs du monde. Il y sera diplômé en 2019.

« Les sportifs ne se rendent pas compte à quel point ils peuvent faire de grandes écoles. Avec une carrière de 4 années en université, un GPA à 3.9, on peut facilement atteindre des MBA à Harvard. C’est la mentalité française qui te pousse à penser le contraire. Aux États-Unis on t’apprend que personne ne croira en toi si toi-même tu ne crois pas en toi. En France on te pousse à regarder les limites. Les US c’est la possibilité !

Louper ce n’est pas grave, tant qu’on garde cette psychologie du succès en nous. Et pour moi cette psychologie s’est développée naturellement pendant mon expérience là-bas ». 

A la sortie de son MBA, Il aura l’occasion de travailler au sein du Crédit Suisse à Londres pendant 2 ans. Il y commencera sa carrière professionnelle à sa sortie d’école en tant que gestionnaire de patrimoine (développement de projets dans le sport, et dans le foot en particulier).

Après avoir expérimenté plusieurs projets, imaginer et développer des idées, aujourd’hui Raphael a rejoint une structure d’accompagnement à 360 degrés avec un de ses anciens co-équipiers :

1212 Capital, un Family Office dédié sportifs de haut niveau et professionnels des médias ayant pour but de permettre à leurs clients de s’émanciper financièrement et intellectuellement, et de profiter de leur vie post carrière.

« J’observe depuis des années des sportifs finir dans les médias ou tentant l’aventure de l’autre côté du terrain après une belle carrière, non par amour du métier mais plus car ils ne voient pas d’autres alternatives. Ils ont été mal conseillés sur leur patrimoine (financier et intellectuel) et se retrouve aujourd’hui dans une situation financière et psychologique compliquée » Avec 1212 Capital, il conte résoudre ce profond problème qui ronge le sport de haut niveau en s’inspirant du modèle de management américain suivi par les plus grands Athlètes Transatlantiques.

Durant la Super Draft MLS 2021, Elite Athletes à finalisé trois signings importants :
Louis Perez de UCF à Pittsburgh en USL !
Mike De Shield drafted #5 a signé officiellement a DC United !
Jukka Raitala signe à Minnesota United from Montreal Impact in MLS !

On January 21st was held our last Alumni Game!
Alumni game of high level since they were at the rendez-vous:
Frederic Piquionne, Clément Simonin, Maxime Chanot, Mickael Ciani, Thomas de Villardi, Rémi Walters…. Among others.
The young FFFUSA players hopefuls were able to meet with the most experienced people who are familiar with university life in the US and MLS for many.
This is an opportunity for the youngsters to ask questions, to get interested in each other’s backgrounds and to get quality videos that will allow the coaches on site to have a more precise idea of the level of the youngsters.